8 juin 2020

1968: UNE NUIT AVEC UN GARDE-BARRIERE

"La caméra  arrive au moment de la relève avec l'équipe de jour: une dame. Dynamique et pleine d'attention, elle accueille son collègue avec joie. Elle lui a préparé du charbon pour qu'il n'ait pas froid lors de sa longue veille. L'homme au visage jovial est souriant, un béret noir sur la tête, il raconte son quotidien de noctambule.(...)"
Ils se font de plus en plus rares, -parce que considérés, certainement à juste titre, comme dangereux-, sauf sur les "petites lignes" à faible trafic, et encore! "ILS" ce sont les passages à niveau, désormais automatisés mais longtemps tenus par des 'gardes-barrières', employés du chemin de fer suivant l'expression consacrée à ce qui était un vrai métier, tout de rigueur et de dévouement au service des trains de la SNCF.
Le modéliste ferrovipathe ET exigeant veille bien entendu à positionner précisément sur son réseau les passages à niveau mais voilà un hommage qui renforcera son exigence quant à choisir les barrières adaptées à l'époque choisie et aussi à la meilleure représentation de "La Maison du/de la Garde-barrière.

Vidéo disponible sur le site de l'INA;FR:

1 commentaire:

patrick VERDIERE a dit…

Beau reportage sur un des nombreux métiers de la SNCF hélas disparus... Du bon sens dans les propos recueillis par le journaliste de l'époque