"Relier Paris au Havre -et Caen sur une autre branche- avec des trains circulant à 250 kilomètres/heure : c'est l'objectif de la ligne nouvelle Paris-Normandie (LNPN). Dans les cartons depuis des dizaines d'années, le projet est longtemps resté au point mort. (...) Problème, cette nouvelle ligne impose d'artificialiser des centaines d'hectares de terres agricoles, ce qui suscite les plus vives protestations des agriculteurs."
Pour une fois qu'un grand projet de desserte ferroviaire semblait convenir aux élus des deux Normandie, Haute ET Basse, d'autres problèmes surgissent, venus cette fois-ci...des exploitants agricoles. Le ferroviaire n'est décidément pas un chemin (de fer) tranquille!
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